top of page

JOUR 10,11 : ESCAPADE A SUCRE


Car la Bolivie c’est plus que Potosi, car Potosi, disons le clairement, ce n’est pas la ville la plus sexy d’Amérique du Sud, de temps en temps on se balade. Et ce weekend, ce fut l’occasion. J’entends déjà les mauvais langues dire « Et les enfants ?? Vous n’avez pas honte de les abandonner ?? ». Non. C’est le week-end, ils sont chez eux. Nous aussi on a le droit de se détendre.

Direction Sucre, ville coloniale fort sympathique, capitale constitutionnelle du pays et qui se situe en bas des montagnes. Pas tout en bas mais suffisamment pour que ça fasse du bien. Rien que le trajet pour y aller est magnifique : les trois heures de car passe à toute allure dans des paysages merveilleux de montagne. Sauf que les trois quart d’entre nous dorment et ne s’en rendent même pas compte.

Nous arrivons enfin à Sucre et nous passons posé nos affaires dans notre auberge, petit coin de Berlin en Bolivie, avant d’aller tous ensemble nous régaler dans une churesquerria de la ville, servant de la bonne viande argentine.

Une fois rassasié/après la sieste, nous commençons enfin notre visite de la ville. Première chose, monter sur les toits. Et rester pour le coucher de soleil.

Deuxième chose, admirer une compétition de hip hop de rue et manger des crêpes presque françaises.

Troisième chose, profiter de l’ambiance de l’auberge de jeunesse, avec nos nouveaux amis israéliens, canadiens, australiens ...

Quatrième chose, nous réveiller tranquillement le lendemain matin et partir à la découverte de la Casa de la Libertad.

Cinquième chose, déjeuner avec la guide le midi, dans la pure tradition bolivienne des déjeuners de famille du dimanche à la bolivienne.

Et enfin, aller admirer la Tour Eiffel la plus haute du monde.

Avant de reprendre le bus de nuit. Bref un petit weekend fort sympathique.

Préparez vous les gosses, on revient en forme.

--- LES ANECDOTES---

Le cœur de Pauline, qui a beaucoup souffert.

Le porte-monnaie de Charles, qui a beaucoup souffert.

La guide, qui nous a supportés et nous a baladés.

Isma, qui lui a expliqué le concept de flemme.

Les lits superposés du Kultur Berlin, qui sont hauts. Très hauts.

La techno berlinoise, qui n’arrive pas à passer les frontières de la Bolivie. Même dans une auberge qui s’appelle Kultur Berlin.

Charlotte, qui est restée.

Ceux qui ont mangé de la langue.

Pauline, qui ne veut pas qu’on reste plus longtemps.

Tout le monde, qui demande quand même.


POSTS RÉCENTS :
PAR TAGS :
Pas encore de mots-clés.
bottom of page